Tout un programme !
Des avions qui chevauchent les pistes, réguliers; des touristes émerveillés s'exclamant un soleil étranger, des stades remplis à craquer, un public gourmand; pour des joueurs piétinant de verte pelouse, déterminés. Des buts plus grandioses et admirables que d'autres, de hautes gammes. Des rires et des pleurs, des baisers d'amour sur tout ce qui est des récompenses individuelles... TOUT ça, incrusté par des photos immortelles même après un centenaire; ainsi finissent les vacances estivales de plus d'un dressées un mois de cela au travers du football.
États-Unis, puissance 4
Le football est vraiment l'unique sport qui réunit le mieux tout un monde déchiré journalièrement par la mesquinerie. Aux termes d'un match dur dans la première demi-heure de la partie, les Hollandaises croyaient à un meilleur verdict du destin.
Certes face à une équipe américaine championne en titre mais aussi déterminée comme l'aigle, essuyer trente minutes sans encaisser le moindre but, ça fait rêver.
Certes, suite à un réplique d'un film :Plus on est malheureux, plus on a de l'espoir, l'équipe du Pays-Bas n'est pas de ce lot de celles qui espèrent une bienveillance de la nature leur aidant à additionner moins de buts que possibles. Un miracle auquel elles espèrent mais qui dommage n'arrive jamais !
Grâce à deux buts de Megan Rapinoe sur pénalité et Rose Lavelle, l'équipe américaine remporte la huitième édition du tournoi en France et garde son bien.
Plus que jamais leur avec ce quatrième trophée.
17 tirs dont 10 cadrés pour une possession de ballon atteignant 57%, les Américaines semblaient bien maîtriser le débats en concédant juste 5 tirs pour un seul cadré.
Une domination sans équivoque car pour rappelle, les Etats-Unis ont défait des le premier tour : la Suède, le Chili et le Thaïlande avec au passage 13-0 contre ce dernier.
Maîtrisant l'Espagne pour ensuite éliminés le pays hôte, les Etats-Unis n'avaient pas eu partie facile face aux Anglaises en demi-finale.
Félicitations à cette imbattable équipe américaine qui a bouclé 7 victoires en autant de match dans ce tournoi.
L'équipe masculine des États-Unis trébuche
Dérapé en trombe face au Cuba 7-0 dans la Gold Cup; le Mexique bien emmené par Gerardo Martino était l'adversaire chanceux de cette finale face aux États-Unis après avoir bénéficié d'un pénalité généreux dans la demi-finale face aux Grenadiers d'Haïti. Une équipe américaine masculine visiblement efficace et en santé comme celle féminine car elle comptait déjà 5 victoires en autant de match dans ce tournoi pour 1 seul but encaissé.
Une quinzième édition où les finales les plus fréquentes sont l'affiche de ce soir, les américains ont souffert pour une brèche jamais trouvée dans la défense mexicaine très bien organisée. Un match digne d'une finale et remporté face au pays hôte sur le strict minimum par un but du dossard 6, Giovani Dos Santos, dans le dernier quart d'heure du match.
Pour les archives, le Mexique remporte son huitième trophée sur quinze éditions depuis l'appellation de Gold Cup.
Et dans la foulée...
Le Brésil de son côté, pays organisateur et 5 fois champion du monde, remporte son neuvième trophée de Copa America en raillant le Pérou 3-1 après un pénalité imaginaire malgré la VAR pour le Brésil.
Si la Coupe du monde a été manqué l'année dernière, le Brésil, berceau du football mondial, se réconcilie avec son public assoiffé d'un titre continental depuis 2011 grâce à des buts de Everton, Gabriel Jésus et Richardlison sur pénalité.
Des vacances marquantes pour certains mais décevantes pour d'autres, qui terminent aujourd'hui pour la majorité des amants du football, en attendant la fin de la CAN - Coupe d'Afrique des Nations - avant de se préparer pour les débuts parfumants des championnats européens.
Bonnes Vacances !
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Quelle redaction!
Bresil a fait le plein et Messi continue a pleurer pour Argentine.
Neymar, ou est-il ?
Bresil s'en passe de Neymar il me semble
Neymar a été blessé avant le début de la Copa America. Le Brésil devait s'en passer.
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